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*** Mademoiselle Bulle ***

VIP-Blog de mademoiselle_bulle
  • 97 articles publiés
  • 8 commentaires postés
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  • Créé le : 12/01/2009 20:59
    Modifié : 07/06/2009 02:09

    Fille (24 ans)
    Origine : Paris
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    [ Qui suis-je ? ] [ Mes photos ] [ Design ] [ Photographies ] [ Humour ] [ Mes textes ] [ Vidéos ] [ Mes passions ]

    Mes photos de fleurs

    13/01/2009 17:34

    Mes photos de fleurs


     






    Mes poèmes

    13/01/2009 18:47

    Mes poèmes


    Destin audacieux


    Plus un bruit dans la rue.
    La nuit
    Nous a mis à nu.
    Agréable envie.

    La Lune complice
    De cet élan,
    A travers les volets se glisse.
    Curieux aimant.

    A cet instant,
    Les larmes n’ont plus de raison,
    Le désir se fait amant.
    Indomptable abandon.

    Premier corps à corps,
    Dans ce combat amoureux,
    La vie change de décor.
    Destin audacieux.



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    Lumière


    Eclat d'étoile ou bris de soleil
    Vol de feu ou aura du ciel
    Parfum d'Eden ou manteau de miel

    Refuge du jour, source des matins
    Etendard de vie, message du divin
    Guide du voyant, cauchemard du rien

    Tu es Ô Lumière pour mes yeux
    L'ombre étendue de tous les dieux



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    SI c'est aimé


    Si c'est aimer, de suivre un bonheur qui me fuit
    En m'accrochant aux rênes, d'un espoir illusoire
    Comme on s'agrippe au bras d'un faux ami
    Sachant pertinemment qu'il me laissera choir

    Si c'est aimer, cette atroce sensation
    D'être suspendue au fil de l'existence
    Tel un pantin dans le noir des saisons
    Un mort-vivant perdu dans son errance

    Si c’est aimer, encore, que de perdre l’appétit
    Et ne plus boire, qu’à la source d’un seul être
    Être insensible à tout; au monde, et aux bruits
    Mais s’extasier, dès qu’on le voit apparaître

    Alors, je comprends mieux cette plaie qui me mine
    Ce tourment perpétuel, gouffre de ma volonté
    Et je dirai sans joie, en plagiant Lamartine
    « Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé »



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    Passions


    J'avais rêvé de ça...
    Plonger dans ses abysses aux milles couleurs
    Toucher du bout des doigts son fragment d'utopie
    Juste là
    Sous mes yeux
    Caressant ma peau
    M'invitant à ses transes exotiques
    Sous la fraîcheur d'une ombrelle soudainement ballayée par le vent
    Pardon...
    J'aurais du être là
    Mais les papillons se nichent aux creux de mes mains
    Et maintenant je dois leur apprendre à voler
    Planquée dans ma cage de crystal
    Haut perchée dans le ciel
    Je me cache derrière les nuages
    J'observe ton corps frêle
    Recrocvillé au coin de ta prison
    Je vois
    Je vois mon corps se voué au plaisirs du réél
    Et il aime ça
    La chair, l'organique
    Le mortel, le putride
    Il goûte à toutes les passions
    Et jouit de ces plaisirs futils

    Il est 9h du matin
    L'air et frais et humide
    La journée sera longue jusqu'à ce soir
    Et personne ne viendra me sauver
    Je chasse une larme d'un battement de cil
    Pardon...
    Tout était là, sous mes yeux
    Je ne suis qu'un fantôme
    Les papillons se nichent aux creux de mes seins
    Le froid a rogné leurs ailes
    Jusqu'à la dernière once de poudre d'escampette
    J'inspire
    A m'en exploser les poumons
    La chair, l'organique
    Le mortel, le putride
    Un cadavre de souris gise tout prêt de ton corps
    Ce que le réél pue!
    Je t'attrape par les cheveux
    Tu aggripes mes cuisses
    Mollement
    Cette prison t'as bouffé
    Tes mains chaudes et moites glissent le long de mes jambes
    Une autre larme....
    Et merde
    Un flot
    Long, langoureux
    Glacial et scintillant
    Je te pousse d'un coup de pied violent
    Lache moi
    Nous ne sommes pas du même monde
    Tu te laisses trainer jusqu'au bord de la falaise
    Regarde toi
    Tu n'as même plus la force et l'envie de survivre
    Je t'aggripe par le col
    Ton corps git au dessus du vide
    Ne te laisse pas abattre
    Je t'en prie...
    Tes mains esquissent un geste
    Tremblant
    Pardon...
    Mais les papillons sont aux creux de mes lèvres
    Et maintenant
    Je dois leur apprendre
    A voler...



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    Le desespoir de l'ange


    Je suis morte.
    Plusieurs fois déjà.
    Noyée, battue, écrasée, suicidée...
    Je suis morte, oui.
    J'ai touché la Faucheuse du bout des doigts.
    Et j'ai pris peur.
    J'ai volé par delà les nuages.
    Senti le poid lourd de mes ailes encore jeunes.
    Souvent je suis tombée, d'angoisse, de haine, d'amour..
    Sentiments fictifs.
    T'espérer me suffisait.

    J'ai cherché.
    J'ai cherché des années entières, des siècles.
    Infligeant à mes ailes le poid de la douleur.
    Et lorsqu'elles cedaient à trop de fatigue.
    Je courais.
    J'ai échoué, tant de fois.
    Tu demeurais introuvable.
    Mes yeux embués de tout ces effroyables sentiments.
    Mourir, une fois de plus.
    Je n'en veux plus.
    Je n'en peux plus.

    J'ai massacré les Peuples.
    Brûlé les forêts.
    J'ai soulevé les montagnes.
    Asséché les mers.
    Fait fondre les glaciers, geler les déserts.
    Tenté d'apaiser la braise qui me consumait, lentement.
    Mais le désespoir a vaincu.
    A fait de moi un monstre.
    Il a volé mon ombre, mes ailes.
    Mon âme.
    Il a fait de moi une bête.
    Assoiffée de Mort.
    Mourrant d'Amour.

    J'ai volé par delà les cendres.
    Senti le poid lourd de mes ailes devenues rognes.
    Souvent je suis tombée, de douleur, de haine, d'amour...
    Sentiments d'horreur.
    T'espérer m'était devenu insupportable.
    Puis je t'ai trouvé.
    Baignant dans le sang de mes ignominies.
    Je me suis vu dans tes yeux.
    Et j'ai eu honte.
    Je me suis haït.
    Je t'ai haït.
    J'ai crevé ces yeux qui refletaient mon abomination
    Et j'ai observé une toute dernière fois ce monde qui jadis était mien.
    J'ai creusé ma tombe.
    Et je m'y suis caché.

    Tu as volé par delà les ruines.
    Senti le poid lourd de tes ailes toujours majestueuses.
    Souvent tu es tombé, de fatigue, de tristesse, d'amour..
    Sentiments fictifs.
    M'espérer te suffisait.
    Tu as cherché.
    Tu as cherché des années entières, des siècles.
    Et tu m'as retrouvé.
    Baignant dans la fange de mon dégout.
    Tu m'as aimé.
    Rendu ma dignité.
    Et ensemble nous avons rebattit un monde.
    Aux couleurs unies par la pureté.
    Aux horizons rêveurs
    Aux plaines souriantes.
    Et nous formions le Peuple
    De ces terres devenues Notre.

    Aujourd'hui encore je foule le sol
    De notre magristral Eden
    Les pieds nus sur l'herbe frêle
    Je contemple les nuages aux formes inouïes
    Saoûle du parfum des violettes

    L'image de ce démon
    Perçue encore dans ton regard
    Me rappel à l'ordre lorsque mes ailes noircissent...



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    Mademoiselle rêve...


    *...Mademoiselle rêve
    Perchée du haut de son imaginaire
    Ses pensées flottent s'étalent sur la grève
    Mademoiselle rêve une entité de verre

    Elle est tombée de la Lune
    Embrumée encore de ce trop plein d'étoiles
    De ses yeux ébahis elle caresse les dunes
    Et forme ainsi le rythme de son grandiose bal

    Mademoiselle rêve les valses de son Prince Charmant
    Les tulles et les dentelles jetées aux oubliettes
    Son décor est de neige glacial envoûtement
    Et sa robe est de miel un parfum de violette

    Le ciel demeure gris sur la plaine ensommeillée
    Alors qu'elle chavire dans les bras feints de sa poupée
    Il était maigrelet son merveilleux bellâtre
    Elle le savait parfait sous ce teint si blanchâtre

    Elle l'avait fait de neige d'amour et de fantasmes
    Vétu d'un peu d'ego d'envie et de poudreuse
    Elle le savait parfait elle se sentait honteuse
    Et tentait de cacher sa pathétique face

    Le petit jour vînt criant de verité
    Ammenant avec lui la réalité nue
    Mademoiselle vit sa marionnette fondre
    Le Soleil la surprit, noyée dans son regret
    Jusqu'au fond de la terre elle ira se morfondre
    Pour ce Prince d'un rien, d'une Princesse déchue...*



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    ANGE


    Mon coeur ne se remet plus de ses cendres
    Ce coeur qui jadis semblait pure et si tendre
    Désormais perdu, délaissé dans ce méandre

    A quoi bon tant de larmes pour un ange déchu?
    Il était près de moi, paraissait si perdu
    Ses yeux étaient de glace, et son corps abattu

    Si mes vers sordides vous prennent en pitié
    Sachez que la mienne, ainsi que ma bonté
    M'ont tout droit ammené vers un destin amer
    Une steppe sans fin, un immense désert

    Et quand cet ange malin a pronnoncé son nom
    J'ai tenté croyez-moi de toute les façons
    De fuire la créature pourtant si attirante
    Quand j'ai compris le sens de ce nom qui me hante

    Damné et Angelique
    Nécromancien Tyranique
    Ensorceleur maléfique

    Dante, mon ange gardien, mon protecteur
    Si tel est ton devenir pourquoi tant de douleur?
    Serait-ce ton amour qui obscède mes pleures?



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    Errance


    Seule, j'erre sans but dans un cimetière qui porte ton nom
    Les tombes tentent de me parler en vain
    Car je les ignore désirant n'entendre qu'un son
    Celui de ta voix si douce qui me semble si loin

    Si mon visage semble de glace
    Mon âme elle, pleure des rivières de sang
    Mais j'entendrai cette mélodie et j’attends
    Espérant trouver dans ton coeur
    Une toute petite place
    Pour faire disparaître tout ce bonheur

    Seule je ne peux supporter cette douleur
    Celle que tu m'as infliger par ton amour
    Qui a transpercé et ensanglanté mon coeur
    Et déposé sur mes larmes un poids si lourd



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    Tendre souffrance


    Nuit hérétique
    Oh grand Désespoir
    Soupir mélancolique
    Divinité noire
    Larme angélique
    Simple lame de rasoir

    Un cri, une vie qui s’essouffle
    Une bougie, apeurée qu’Elle l’étouffe
    Le vent, hurlant sur les mausolées
    Une âme souffrante, soudainement enflammée

    Nuit hérétique
    Oh grand désespoir
    Soupir mélancolique
    Je ne peux te croire

    Tes misérables prières ne pourraient que faire
    Face a un dieu ignorant à l’agonie
    Quelques stupides signes de croix emplie d’ironie
    Espérant qu’Il rende l’âme avant la nuit

    Nuit hérétique
    Oh grand désespoir
    Soupir mélancolique
    Je ne peux te croire

    Liquide pourpre giclant de mon torse
    Sourire ironique s’affichant sur ton doux visage
    Soupir mélancolique
    Divinité noire
    Larmes angéliques
    Je ne veux te croire

    Oh tendre souffrance…



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    Melodie d'agonie

    Au son mélodieux des violons
    J'attend
    Les question posées se heurtent dans ma tête
    Se résoudront-elles?
    Jamais...

    Sur cette douce partition
    Je me rend
    Car je sais que le silence me guète
    Que ton amour ne me prendra plus sous ses ailes
    Tendresse...

    Par delà toute dérision
    Je me pend
    Pour éffacer toutes ces idées faites
    Que tu n'espères plus rien de moi, que je sois celle
    Oubliée...



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    L'ami du vent


    Le soir tombait, se laissant choir,
    Comme ça d'un coup, d'une masse,
    Sur le jour, surpris par le noir,
    Du soir, qui lui faisait des crasses.

    La nuit, qui marchait dans les pas,
    Du soir, qui précédait toujours,
    Coulait de source sous le tas,
    Des ombres, qui jouaient des tours.

    Il en va pareil des idées,
    Tantôt claires, tantôt obscures,
    De nos espérances écorchées,
    De nos journées, encore futures.

    Une musique, un peu comique,
    Qui se joue, rit de nos déboires,
    Nous controlons si peu les risques,
    Nos rêves sont bien dérisoires.

    Le soir tombait, c'était le noir,
    Le plus complet, sans prévenir,
    A tâtons j'allais, plein d'espoir,
    A la recherche d'un sourire.





    Mes poèmes 2

    13/01/2009 19:06

    Mes poèmes 2



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    dans l'absurdité humaine du vie qui s'engouffre
    je sens sous mes pas, le vide, un gouffre,
    dans la superficialité de ses inconus qui me jugent,
    je me sens seule, perdu, et de leure haines je me purge,

    dans l'echo inaudible de la vie réelle,
    je me sens inexistante et virtuelle,
    Sur la facade de mon ecran glacé,
    je cherche un moyen de m'évadé, de voyager...

    dans mon coeur glacé de solitude,
    j'essaye de trompé l'habitude,
    detruire l'erance et l'ennuie
    par des mots et de la poesie,

    dans l'incertude d'un eventuel avenir,
    j'ecris mon présent, sans refflechir,
    dans l'inevitable mort qui approche,
    je me voit de plus en plus proche.

    j'ai de moins en moins de mots,
    pour d'ecrire la dureté de mes maux,
    de moins en moins d'envies,
    pour franchir les frontières de la vie



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    Je cherche l'ombre
    L'ombre d'un homme
    Le réverbère dans l'obscurité de mes nuits
    Caché au fond d'un puit
    Le regard aux larmes de l'infini
    Les yeux à la clairière
    Une âme suspendue aux branches de la vie
    Il nous faut voir les choses différemment
    Avec les yeux à l'enfance perdue
    Comme Adam et Ève
    Le fruit est défendu en la forêt des mal-aimés
    Je saurai touchée ton ombre en lambeaux
    Pour enfin éclairé l'intempérie de nos nuits
    J'irai armée jusqu'aux flammes de l'enfer
    Je parlerai à ton ombre pour taire sa peur de fugitif
    Je l'a ratrapperai pour t'aimer
    T'aimer malgré les ombres de la vie



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    Je crie…
    De peur que le corps ne subisse
    Les vendanges de l'automne,
    Je crie aux creux des hivers
    Aux lieux-dits, à l'univers.
    Je crie la mise en garde
    Des grandes déraisons
    Pour que l'amour survienne
    Solide et bien pourvu
    Des attraits de la joie.
    Je crie…
    Au bonheur des distances
    A parcourir pour approcher
    L'abondance de l'espoir
    A chaque pas nouveau
    La certitude de demain
    Et des longs souvenirs.
    Je crie…
    Image par image,
    Rosée lisse sur ton visage
    L'âme coulant sur ta peau
    Avec au c,,ur le ciel
    La volupté d'un vol…
    Qui ne sait d'où il vient
    Mais découvre l'horizon !!!



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    Le visage du malheur
    C'est le nuage inattendu
    Qui se déchire juste au-dessus de soi
    Ce sont les bras tendus
    De l'arbre mort dans la forêt vivante
    Le noir profil sur le ciel bleu
    De folies accablantes

    Le visage du malheur
    C'est la douleur menaçante
    L'implosion du moi
    L'âme à son point de rupture

    Le visage du malheur
    C'est la rue sans issue
    Le tunnel sans fin
    L'indomptable brûlure
    Ton absence dans la nuit
    Nos espoirs qui s'envolent
    Et dans le silence du soir
    L'angoisse qui revient



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    Dans un atelier poussiéreux
    Par de fines particules
    D'un cailloux trop poreux,
    …Pas le moindre tumulte.
    Dans son atelier encombré
    D'ombres d'images cultes
    Dessins inachevés
    …des lignes forment une insulte.
    Rodin sait bien, qu'avec ses mains
    Il réinvente demain.
    Rodin sait bien, les nuits sans faim
    Les bruits sourds du burin.
    Rodin sait bien, le bronze éteint
    De l'homme au féminin.


    C'est un atelier souvenir
    D'une enfance trop adulte
    D'une révolte à venir
    …D'une école qui inculpe
    C'est un atelier pour bannir
    Leur marbre froid qui brûle
    Leurs musées leur empire,
    …Lui ne pense pas il sculpte.
    Rodin sait tout, des ventres mous
    Des dessus des dessous.
    Rodin sait tout, du long des cous
    Ses outils creusent en nous.
    Rodin sait tout, le sang qui bout
    De l'homme devenu fou.


    C'est un atelier et Camille
    L'infinie aventure
    Le Penseur qui vacille
    …Une passion le fissure.
    C'est un atelier sans Camille
    L'infinie déchirure
    Le Baiser se fendille
    … La douleur et l'obscur.
    Rodin n'sait pas, ces choses là
    Son c,,ur ignore les lois.
    Rodin n'sait pas, le mal parfois
    Qu'il peut faire de ses doigts.
    Rodin n'sait pas, il suit sa voie
    Où d'autres corps naissent déjà.

    (…)

    Reste un atelier en poussière
    Quelques troncs quelques muscles
    Un poème de Baudelaire
    …L'esquisse jaunie d'une muse.
    Reste de l'amitié d'un Whistler
    D'un Monet d'un Cézanne
    L'art révolutionnaire
    …D'un vin frais sur la table.
    Rodin le sait, ne pas céder
    Aux Bourgeois de Calais.
    Rodin le sait, le trait gommé
    De L'Homme au Nez Cassé
    Rodin se tait, Rodin le sait
    Qu'en lui une femme est passée.
    (…)
    Qu'en lui une femme est passée.



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    Tu es mon oxygène,
    Tu es la joie que je promène,
    La force qui brise mes chaînes,
    L'indispensable qui coule dans mes veines.

    Tu es l'objet de mon existence,
    L'Ange pur de l'innocence,
    Mon Etoile de bienveillance,
    Plus qu'un espoir et plus qu'une chance.

    Tu es ma mélodie,
    La douceur de mes nuits,
    Les couleurs de ma vie,
    Le bonheur à l'infini.



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    Ne dis pas au temps qui passe
    Que ma vie est une impasse
    Que sur moi il laisse des traces
    Mais va dire à l'instant
    Que je l'aime en souriant

    Ne dis pas au temps qui passe
    Que son rythme n'est pas rapide
    Que malgré cela, il laisse des rides
    Mais va dire à l'instant
    Que toujours je l'attends

    Ne dis pas au temps qui passe
    Que sur mon visage il y a une larme
    Qu'il mêle trop les joies et les drames
    Mais va dire à l'instant
    Que je le cueille comme un printemps

    Ne dis pas au temps qui passe
    Que sur moi pèse son poids
    Que je lutte pour garder ma foi
    Mais vas dire à l'instant
    Qu'il est précieux comme un diamant

    Ne dis pas au temps qui passe
    Que parfois devant lui je m'efface
    Et ma peur de perdre la face
    Mais va dire à l'instant
    Que je l'aime éperdument

    Vas dire à l'instant
    Que l'avenir reste grand
    Va dire à l'instant
    Que demain reflètera le présent...



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    C'est une fleur, elle pousse dans un jardin de Florence
    Une fleur, elle s'ouvre si la lune est noire.
    Un mystère envoûtant pour un homme,
    Un goût vert et piquant au goût de pomme,
    C'est une fleur, semée au plus profond de mes sens,
    Une fleur qui se ferme quand je refuse de la voir.

    C'est une brume, elle dépose son voile sur Florence
    Une brume, on la trouve si la lune est noire
    Une citadelle au pied de son étang
    Un goût sucré de miel un goût de sang
    C'est un donjon, dressé au plus profond de mes sens
    Une brume qui m'enferme quand je refuse de la croire.

    C'est une larme, elle coule d'une fontaine de Florence
    Une larme, elle lui vient si la lune est noire
    Une danse soumise à mes émotions
    Un goût d'envie des points de suspension
    C'est une lame, plantée au plus profond de mes sens
    Une larme qui se perd quand je refuse de la boire.

    C'est une femme, elle est née tout prés de Florence
    Une femme, elle ne vit que si la lune est noire
    Un face à face, un passage entre deux mondes
    Un goût de victoire quand nos corps s'inondent
    C'est une femme, aimée au plus profond de mes sens
    Une femme, une fleur rare, une rose noire.



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    Un regard vers l'autre

    Un regard même... s'il se fait tard !

    Depuis un moment je trouve un instant chaque soir

    Pour voir ou revoir les mots et percevoir les bleus à l'âme

    Que de plaisir à parcourir des rimes chantant le bonheur !

    Mais souvent un cri couvert par des vers annonciateurs

    On ne peut dire ...alors on s'exclame

    Par ces vers pas toujours à l'envers on réclame...

    Une simple attention mais aussi du réconfort virtuel

    De nos jours c'est naturel

    Poètes vous avez du talent

    Aussi cela se fête......même si le regard reste dans l'ombre

    On peut faire le tour du monde!!!!!




    Qui suis-je ?

    13/01/2009 19:09

    Qui suis-je ?


    Qui suis-je ?

     

    Prénom(s) : Florence Ylea Naïa

     

    Date de naissance : Le 20 Octobre 1984 (24 ans)

     

    Lieu de naissance : Ain Saadé au Liban

     

    Signe astrologique : Balance

     

    Origines : Libano-Tibétaine

     

    Religion : Bouddhiste

     

    Nationalité(s) : Franco – Libanaise.

     

    Ville : Paris / Chantilly

     

    Orientation Sexuelle : Bisexuelle

     

    Métier : Directrice d’une agence de photo, déco, archi et design

     

    Nombre de frère(s) et sœur(s) : J’ai 2 frères et une sœur.

     

    Age des frères et sœurs : Nicolas 22 ans, Vincent 21ans et Hélène 20 ans.

     

    Nombre d’enfant(s) : 1 Fille qui s’appelle Manaëlle

     

    Age des enfants : 9 ans, née le 21 Octobre 1999

     

    Passions : La musique, Le chant, Les loups, La poésie, Le cinéma, La télévision, La nature, Les amérindiens, La création, L’art, Les albatros, Les poissons, Les reptiles, La photographie, La cuisine, Les voyages, Les animaux, Mon métier, Mes voitures et mes motos, Mes ami(e)s et par-dessus tout ma famille.

     

     






    Mes poèmes 3

    13/01/2009 19:13

    Mes poèmes 3


    Mon Cosmos


    Comme un rideau qui se baisse
    Quand la comédie est finie
    Quand mon corps s'affaisse
    De toutes ces lourdeurs de la vie

    Je m'évade vers l'espace univers infini
    Pour me ressourcer loin du monde ténébreux
    Je ferme lentement tranquillement mes yeux,
    Pour décrocher m'évader vers cet infini

    Déconnecte mes pensées de la terre
    Vide ma tête par l'écoute de cet air
    Comme on vide parfois ses poches,
    Pour se sentir libre de tous reproches

    Déconnecte mon mental de la terre
    Visionne mon bel univers nuage
    Pour y voyager et respirer mon air
    Mon évasion zénitude mes mages

    Je me laisse agréablement emporter
    Par le courant de la rivière nacrée
    Bercée par une musique aux notes sacrées
    Calme et sérénité deviennent mes alliés

    Lentement,je traverse mon cosmos
    Pour y déposer lourdeur et pesanteur
    Qui ont cotoyé mon cerveau penseur
    Un moment de plénitude à mon repli cosmos

    Source de chaleur, de quiétude éternelle
    Légèreté de mon âme, mon corps sommeille
    Tranquilité sérénité alliés de mon coeur
    Je redescends lentement de ce paradis bonheur

    Paisible et de nouveau ressourcé
    De ces morceaux de douce lumière,
    De cet enchantement je suis apaisée
    J'ai choisi d'être souvent sa prisonnière


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    Une larme


    La première larve éclôt
    Essuyant la joue des bisous
    Salé sur le bord de la bouche
    Qui mouche de la peine

    La seconde lave ravage
    La flamme rouge magma
    Brûlant sur son passage
    Ce qui pourrait faire obstacle

    La troisième lame déchire
    Celle qui rase les émois
    Irrite les sensibles
    Victime de leur pureté


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    Vent de mon coeur


    Un vent léger souffle sur mon coeur
    Et il est chaud, même plus, brûlant
    Il me déchire, me heurte, m'empoisonne
    Je pleure d'amertume, j'ai mal !

    Un vent se lève sur mon c,,ur
    Et il est froid, même plus glacé
    Il me frigorifie, me gèle, me brûle
    Je pleure d'horreur, j'ai mal !

    Un vent violant règne sur mon c,,ur
    Et il est fort, même plus, giflant
    Il me broie, me fait peur, m'assomme
    Je pleure d'épouvante, j'ai mal !


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    Imaginaire


    Imaginer une vie meilleure
    On ne peut que rêver
    Jamais le rêve n'est réalité
    Et fait venir le malheur.

    Sur mon nuage tout la haut
    La vie n'est que merveille
    Mais il faut que je redescende
    La vrai vie m'attend ici.

    De là haut, j'ai posée mes rêves
    Imposer mes malheurs moi-même
    J'ai déchirée ma vie en morceaux
    Et maintenant je ne peux plus changer.

    Ma vie sera comme je l'ai écrite
    Il ne reste qu'à me battre
    Pour retrouver le sourire
    De mes rêves imaginaires.


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    Désillusion


    Chaque jour, un peu plus,
    Je ressens le néant,
    qui prend pour séant,
    mon âme de son rictus !

    Et avance intensément,
    ce curieux sentiment....
    Que je porte sur ce monde,
    où mon âme vagabonde

    à en perdre la raison,
    irriguant d'alluvions,
    portant ma déraison,
    à la désillusion...


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    Désespérance


    Va ma plume, cours et bavarde,
    Porte-lui mes mots et s'il tarde,
    Dis-lui que ma vie se consume,
    Vacille et se perd dans la brume
    Des froids matins de désespoir,
    Où le soleil se vêt de noir
    Quand, sortant de ma folle errance,
    Il m'apparaît que son absence
    Prend des couleurs d'éternité.
    Que d'hivers, combien d'étés
    Sont venus mourir à ma porte ?
    Je ne sais plus. Le vent emporte
    Mes espoirs déçus et mes larmes,
    Le temps a émoussé mes armes.
    J'attends et j'y perdrai mon âme
    S'il n'accourt me refaire femme.


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    Dechirement,


    Chaque soir je me recueilles,
    Pour ecouter chaque son,
    Chaque battement de ton coeur,
    Qui murmure tendrement,
    A mon ame,
    A mon coeur,
    Ces doux mots d amour,
    Qui font que deux êtres,
    Peuvent se rencontrer,
    Se connaître,
    S apprécier,
    Et enfin s aimer,
    La nuit vient de tomber,
    Tu me prends dans tes bras,
    Tu me serres très fort,
    Contre ton corps,
    Contre ton coeur,
    Tes mots me disent que tu m aimes,
    Ton corps ne désire que le mien,
    Mais je n entends plus ces battements,
    Ces battements qui murmuraient,
    A mon oreille infini,
    Dont l écoute plonge dans l oubli,
    Ne pensant à rien d autre qu a toi,
    A ton âme,
    A la plus belle chose,
    Semblant exister en toi,
    Semblant seulement,
    Désormais je sais,
    Je viens de deviner,
    Je subis un nouveau déchirement,
    Je m apprête a vivre un autre tourment,
    Une seule place est libre dans ton coeur,
    Une seule demeure en ton fort intérieur,
    Celle-ci n est pas faite pour mon coeur,
    Pourtant tu me disais,
    Que tu m aimais,
    Que rien ne se mettrait
    Entre toi et moi,
    Que personne ne nous séparera,
    Tu me l avais promis,
    Je me rends compte que tu m as menti,
    Ces paroles n étaient rien pour toi,
    Elles comptaient tant pour moi,
    Maintenant tu vois ta vie sans moi,
    Je vais devoir en connaître une autre?
    L'apprécier? L aimer?
    En imaginant que tu n es plus qu un songe?
    Une image? Un être déjà trop aimé?
    C'est pourtant ce que tu as fait,
    Comme toutes les autres,
    Tu m as menti et tu l as rejoint
    Je n étais pas assez bien,
    Peut être est-ce pour tout cela que je n y crois plus,
    Que je préfère ne pas y penser,
    Me taire,
    Et peut-être est-ce pour cela,
    Que j écris ce soir...


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    Tout ce que je n'ai pas écrit,
    Tout ce que je n'ai jamais dit
    Gonfle et bouscule ma plume,
    Enfièvre mon coeur où s'allume
    Un feu de colère et d'espoir,
    Mêlant le rire au désespoir,
    Qui fera éclater les mots
    En cris de joie ou long sanglots.
    Oh ! non je ne veux plus me taire,
    Je ne peux plus me satisfaire
    De tant de silences complices,
    Et cacher tous les sacrifices
    Pleurés par mon coeur et mon âme.
    Oui j'écrirai ! Si l'on me blâme
    Je n'en ai cure. Ce que je souhaite ?
    Parler et pleurer d'une traite !


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    Désirs


    Je voudrais couler sur toi
    Comme une douce goutte d'eau
    Poussée par la bise du vent
    Puis laisser mon empreinte sur ton corps
    Glisser sous tes mains
    Entrer dans ton paradis interdit
    Guidée par une folle envie
    M'enivrer de ton souffle exaltant
    En frôlant tes lèvres douces
    Me blottir dans ton cou
    Caresser son duvet
    Me vêtir de ta chair
    Sentir ton pouls
    Descendre le long de ton corps
    Explorer ta hampe divine
    Pour faire de toi mon tout
    Longer la courbe de tes reins
    Embrasser, presser ton torse
    Caresser doucement ta poitrine
    Parcourir de mes mains ta volupté
    M'abreuver goutte par goutte
    De ton élixir de plaisir !!!



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    Tu as le temps


    Tu as le temps de vivre ta vie
    Tu as le temps de rire aussi
    Tu as le temps de bricoler
    Tu as le temps de t'évader
    Tu as le temps, tu en as le talent
    Prends donc le temps chaque printemps
    Même si dehors c'est le mauvais temps
    Tout simplement prenons le temps de nous aimer
    T'as pas le temps de regretter
    Ne prends pas le temps de remuer le passé
    Il faut savoir à tout moment recommencer
    Dessine en un plan, vit en entier
    Prends le temps de regarder
    Il y a tant de choses à dominer
    Prends le temps de chanter
    Et avec tes douces mains
    Crées le monde et sa beauté



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    Viol incestueux


    Papa! Papa je t'en supplie ne fait pas ça!
    Souviens toi! C'est ton enfant que tu meurtris là!
    Ton visage n'est plus le même
    Quand tu me touches, que tu me dis je t'aime!
    Tes yeux! Qu'est-ce qu'ils deviennent
    Quand tu mets ta bouche sur la mienne!?
    Tes belles mains qui m'ont bercées
    Alors que je n'étais qu'un bébé . . .
    Sont devenues honte et dures
    Impures et blessures!
    Mon corps, mon coeur ne sont que souffrances
    Mon désespoir est immense!
    Tu m'as volé mon enfance!
    Voilé mon adolescence!
    Plus rien n'est à sa place . . .
    Ni le i, ni le o du voile
    Pas même mon image dans la glace
    Rien qu'un suaire de toile. . .



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    Sida Citron


    Trempe tes yeux dans la profondeur de mes larmes
    Vois tu la prisonnière, les chaînes de la fatalité
    Je dédie mes nuits sauvages a l'enfant plein de charme
    Le fruit de son désir criminel ne pourrais me faire avorter

    Le pouvoir d'une femme serais t'il de donner la mort
    Trente minutes pour oublier son nom, perdre la raison
    A me demander si ses lèvres susurraient le remord
    Alcooliques de frasques corporelles, j'ai accepté son Sida citron

    Neuf mois accroché a ton landau éphémère
    La vie se consume dans mes veines, ton sang noire
    Sous le regard des anges rédige ton faire-part mortifère
    Papa nous rejoindras, trois place dans un corbillard

    Rappel toi ses mensonges arracher ma chair maudite
    Sa salive imprégner ma peau tel un tatouage de soumission
    Il me reste l'impatience d'une tombe préconstruite
    Pour un verre éternel, je n'est pue résister a son Sida citron...



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    Pourquoi


    Pourquoi oublions nous que nous sommes mortel
    Orgueilleux prétendant de l'univers
    Usurpateur qui crois en la lois du plus fort
    Ridicule souverain pauvre intellectuel
    Qui se voit revêtue d'une gloire intemporelle
    Ulcèrise le monde sous le poids des efforts
    Offense la nature et enfantant l'enfer
    Impossible pourtant de voir l'essentiel

    pourquoi et pourquoi pas. . .



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    Love me ..
    .

    Je t'offre une fleur pour la vie
    Une autre pour l'infini
    Une pour notre amour
    une dernière pour que cela dure toujours

    dans tes yeux sonne l'amour
    et raisonne un clairon
    qui pour que cela dure toujours
    nous ôtes notre raison

    Ce qui pétille dans ta vie
    je le ressent dans la mienne
    car jusqu'au bout de la nuit
    ma vie est tienne

    Je me fous de ces critiques
    de ces choses que l'on raconte
    pour nous mettre dans un désaroi chronique
    et que vienne en nous ce sentiment de honte

    j'aime quand tu me chante love me
    que tout le monde nous voit
    comme si on était des abrutis
    nous on rigole car l'amour n'a pas de loi

    pour toi je décrocherai la lune
    la mettrai sur mon porte plume
    je t'écrirai de ces mots
    que l'on jurerai faux

    Mais que seul toi pourra voir
    car seul toi tu en aura le savoir
    tu saura tout les secrets de ma vie
    et me chantera love me...



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    Interrogation


    Ce lever le matin et regarder le monde
    chercher a découvrir quel est l'ultime but
    chercher a y trouver cette vérité profonde
    cela vaut t'il la peine de continuer la lutte?

    Commentaire de cristalinette13 (01/06/2009 07:57) :

    Les mots éclatent magnifiquement : bravo.

    http://cristalinette13.vip-blog.com/




    Mes poèmes 4

    13/01/2009 19:21

    Mes poèmes 4


    Ivre


    Je sens sous mon bras
    La douceur de ta chaire.
    Je sens en moi,
    Ta réalité amère,
    La brise de ton haleine,
    Tes mots meurent en ma haine...
    Je respire le parfum de ton regard
    Ta peau lumineuse, tendre mais froide.
    Le bleu autour, le bleu dedans.
    La vie autour, la vie dedans.
    Mon ombre chavirée par tes pas
    Continue sous l'impulsion de ta voix...
    L'écho de tes mains sur ma peau,
    Brise en moi ta blessure.
    Cadence et raisonnante armure...

    Mais fais-moi mal...
    J'aime quand tu t'attaques à moi,
    Quand tu griffes et écorches mes veines.
    De la pollution de ton coeur,
    Tu m'abîmes... Fais-moi mal...
    J'aime la façon dont tu me traites,
    La souffrance passion idéalisée.
    J'aime subir la défaite,
    Fais-moi mal...
    J'aime t'entendre dire les mots,
    Ces mensonges qui m'assassinent.

    Je veux être ton eau et ta flamme,
    Ta force et ta fragilité.
    Ton homme et ta femme,
    Ton intelligence et ta naïveté.

    J'empreinte le chemin du mal,
    Et tu ne vois même plus
    Que mon âme s'emballe...

    Je suis la plume et la page,
    L'innocente et le sage,
    Je suis Dieu et Satan,
    Ta vie et ton sang



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    Musique d'aurore,


    J'ai accordé mon coeur
    Aux violons de la nuit,
    Mille sons enchanteurs
    En ont chassé l'ennui.

    J'ai joué de l'archet
    Qui glisse sur le vent,
    Et j'en ai chevauché
    Les fiers coursiers ardents.

    J'ai ciselé l'aurore
    Avec l'or des étoiles,
    Afin que puisse éclore
    Un jour que rien ne voile


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    Oh poème,


    Je n'ai que mes mots
    A offrir en cadeau,
    Moi poète destiné,
    Au rêves inavoués.

    Dans mes songes,
    Dans mes nuits,
    Dans l'absence, dans l'oubli,
    Oh poème qui me ronge…

    Les mots sur le papier,
    Viennent transcrire mes pensées,
    Mais dans ma tête, viennent s'échoués,
    Mes rêves et mes idées.

    Dans mon c,,ur, des sentiments,
    Dans mes yeux, des émotions,
    Sur le papier, mes élans,
    Et dans ma plume, toutes mes chansons…

    Je mets en mots, mes mélodies,
    Je mets en rythme, mes mélopées,
    Je mets sous vide, toute ma vie,
    Et en poèmes, toutes mes pensées.

    Je n'ai toujours que très peu de mots,
    A offrir en cadeau,
    Mais dans mes mots, un peu de vie,
    Un peu de moi avec beaucoup d'envie…


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    introduction à la lecture!...


    Des livres ouverts à la préface, m'amènent à briser la glace :
    Il n'est point de pire mystère que l'assaut littéraire
    Et poursuivant mon ascèse comme une ascension à un diocèse
    Cent et uns ouvrages m'ont pris en otage
    Devant la vastitude de l'encyclopédie des écrits
    Je continue le carnage sacré de l'esprit
    La pensée est devenue un luxe, et le luxe s'est mis à penser
    Intrinsèquement de mon moi engourdi voici ce qui s'ensuit :
    Des pages sautent comme d'autres s'exportent
    La beauté des phrases croulent sous le firmament d'un soleil levant
    Et je reçois en cadeau les messages subliminaux
    De mes auteurs évocateurs de chimériques idéaux
    De la bible à connotation anesthésiste
    Aux grimoires ensorcelants d'un espoir évanescent
    Des narrateurs prônant un alphabet hallucinant de vérité
    Mais diffamatoire de par sa complexité
    Me jurent que c'est ici que se trouve mon impure destinée
    Ma cure de jouvence passera par l'éloquence travestie d'une armure
    Ou perdrait tout son sens, ainsi le drame ferait vaciller mon âme et ses fêlures
    Chaque matin ma boite à lettres sera mon coffre fort épistolaire :
    Le renfort de mes nourritures célestes et spirituelles
    Une cargaison de manuels qui empestent l'éternel :
    La pensée universelle dressée comme seul étendard
    La lecture de mes avatars ne doit jamais avoir de retard.


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    Famine


    Hélas nous ne veillerons plus ensembles à la clarté des songes
    Le chat ne boira plus le lait de nos moissons fraîchement coupées
    Nos voyages lointains erreront dans nos malles

    Si hésitante est la fuite certaine est la désillusion

    Nos souvenirs d'étés, d'hivers et d'émois
    Ces jours illuminent trop clair le hâlé de ton teint
    La nuit m'épouvante au sommeil
    Seul je renonce histoire d'en finir
    Amour je t'ai aimé, amour je t'aime encore
    J'attends l'incandescence des aurores boréales
    Les serments s'entremêlent aux espérances vaines
    J'implore le gel de l'Arctique pour semer à nouveau
    Promesses de blé, d'orges, et de seigles
    Bientôt des corbeilles débordantes
    Inonderont mes déserts arides
    Des fleurs des pommiers
    Palmerais improbables.


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    Aventure « XXX »


    Attache moi, fait moi l'amour,
    Pénètre moi tout en douceur,
    Mort moi toujours avec ardeur,
    Et griffe à sang ma peau velours…

    Embrasse moi a m'étouffée,
    Enlace moi a me tuer,
    Rends moi ivre de toi,
    Que je te rende dépendant de moi…

    Butine sans hésiter ma fleur passionnée,
    Mordille avec rage mes boutons de rosé,
    Arrache avec envie à mon corps sa virginité,
    Découpe de mon corps endiablé sa frigidité…

    Fais moi oublier d'où je viens, qui je suis,
    Brûle moi a coup de va et viens,
    Redit moi d'où je viens, qui je suis,
    Cris moi qui je suis, d'ou je viens…

    Détache moi qu'a mon tour je te butine,
    Dis moi, cris moi, hurle moi, que tu aimes,
    Cris le encore, et encore, que je te piétine,
    Dis le moi une dernière fois, cris le que tu m'aime…

    Et demain ainsi que tout au long de ta vie,
    Je serais pour toi, toujours, poings et pieds liés
    A attendre que tu bourrines de ton corps mutilé,
    Mon être et mon antre remplis de désirs et d'envie



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    Persistence Rétilienne


    Peu importe l'heure, de l'aube au couchant,
    De la portée de ma vue, jusqu'aux visions,
    Il y a, comme incrusté, un point brûlant,
    Au profond de l'oeil, et des perceptions...

    Un visage
    Qui sans effort
    Domine l'astre au zenith
    Mon petit Soleil
    Au regard que je sais
    Peuplé de flammes
    Animé aux teintes d'âme

    Peu importe l'heure, même aux yeux clos,
    Mes paysages se forgent de Toi,
    Une histoire au-delà des mots,
    Un petit truc, un je ne sais quoi...

    Une image
    Qui sans effort
    Recouvre ma vue séduite
    J'entends plus rien
    Je vois plus rien
    Même plus ce que je dis
    Même plus ce que j'écris

    Juste un visage
    Qui me laisse bien moins sage
    Juste une image
    Qui m'emmène aux rivages...



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    Aventure « XXX »


    Attache moi, fait moi l'amour,
    Pénètre moi tout en douceur,
    Mort moi toujours avec ardeur,
    Et griffe à sang ma peau velours…

    Embrasse moi a m'étouffée,
    Enlace moi a me tuer,
    Rends moi ivre de toi,
    Que je te rende dépendant de moi…

    Butine sans hésiter ma fleur passionnée,
    Mordille avec rage mes boutons de rosé,
    Arrache avec envie à mon corps sa virginité,
    Découpe de mon corps endiablé sa frigidité…

    Fais moi oublier d'où je viens, qui je suis,
    Brûle moi a coup de va et viens,
    Redit moi d'où je viens, qui je suis,
    Cris moi qui je suis, d'ou je viens…

    Détache moi qu'a mon tour je te butine,
    Dis moi, cris moi, hurle moi, que tu aimes,
    Cris le encore, et encore, que je te piétine,
    Dis le moi une dernière fois, cris le que tu m'aime…

    Et demain ainsi que tout au long de ta vie,
    Je serais pour toi, toujours, poings et pieds liés
    A attendre que tu bourrines de ton corps mutilé,
    Mon être et mon antre remplis de désirs et d'envie



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    Persistence Rétilienne


    Peu importe l'heure, de l'aube au couchant,
    De la portée de ma vue, jusqu'aux visions,
    Il y a, comme incrusté, un point brûlant,
    Au profond de l'oeil, et des perceptions...

    Un visage
    Qui sans effort
    Domine l'astre au zenith
    Mon petit Soleil
    Au regard que je sais
    Peuplé de flammes
    Animé aux teintes d'âme

    Peu importe l'heure, même aux yeux clos,
    Mes paysages se forgent de Toi,
    Une histoire au-delà des mots,
    Un petit truc, un je ne sais quoi...

    Une image
    Qui sans effort
    Recouvre ma vue séduite
    J'entends plus rien
    Je vois plus rien
    Même plus ce que je dis
    Même plus ce que j'écris

    Juste un visage
    Qui me laisse bien moins sage
    Juste une image
    Qui m'emmène aux rivages...



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    La penssée humaine


    Tel un torrent tortueux ou un arbre noueux
    La pensée s'initie tout au long de la vie
    A nous paraître anormale presque animal
    On la juge au scandale quand elle n'est pas banale
    On l'oublie dans nos mémoires faut pas en faire d' histoire

    Erudits ou analphabètes personne ne né bête
    Elle survient dans la nuit quand on est démunit
    On construit des murailles de peur qu'elle nous tenaille
    Rien à faire la pensée dira sa vérité

    Faux semblant tout droit sorti du néant
    Cascades de mots qui s'alignent verbes hauts
    Elle nous secoue pourtant on reste debout
    Je les regarde en spectateur j'en joue j'en suis l'auteur

    Parfois j'en perd mon latin quand trop tôt le matin
    Elle me surprend sans s'invité devant ma tasse de café
    Parait faut pas s'inquiéter alors je me dit que je suis doué
    J'en rit faudrait pas donner de l'importance à toutes ces souffrances

    Je sais que vous aussi à poser vos poésies
    Vous serez me comprendre à travers ces méandres
    N'en fessons pas de mystère elle peut être lumière
    De toute façon y a rien à faire que de la laisser faire
    Et de voir sans peine ou cela nous entraîne



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    La penssée humaine


    Tel un torrent tortueux ou un arbre noueux
    La pensée s'initie tout au long de la vie
    A nous paraître anormale presque animal
    On la juge au scandale quand elle n'est pas banale
    On l'oublie dans nos mémoires faut pas en faire d' histoire

    Erudits ou analphabètes personne ne né bête
    Elle survient dans la nuit quand on est démunit
    On construit des murailles de peur qu'elle nous tenaille
    Rien à faire la pensée dira sa vérité

    Faux semblant tout droit sorti du néant
    Cascades de mots qui s'alignent verbes hauts
    Elle nous secoue pourtant on reste debout
    Je les regarde en spectateur j'en joue j'en suis l'auteur

    Parfois j'en perd mon latin quand trop tôt le matin
    Elle me surprend sans s'invité devant ma tasse de café
    Parait faut pas s'inquiéter alors je me dit que je suis doué
    J'en rit faudrait pas donner de l'importance à toutes ces souffrances

    Je sais que vous aussi à poser vos poésies
    Vous serez me comprendre à travers ces méandres
    N'en fessons pas de mystère elle peut être lumière
    De toute façon y a rien à faire que de la laisser faire
    Et de voir sans peine ou cela nous entraîne



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    Le gateau


    Une crème d'amour
    Beurre ces instants
    D'un glaçage excitant

    Une gousse d'amour
    Garnis ce désir
    D'un soupçon de passion

    Ces arômes délectables
    Sirote mon sang
    De toutes ces émotions

    Ce goût aigre de ton absence
    Émietté de ta présence
    Lui confère ce goût délicieux
    De saveur heureuse



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    Si tu étais...


    Si tu étais
    Si tu étais un poème
    je te lirais
    dans mon lit
    à la lumière d'un rêve
    plongée
    dans les draps
    de soie noire
    de la nuit

    Je te lirais
    avec les yeux
    et tes mots seraient pour moi
    des gouttes de rosée
    qui brillent
    dans l'obscurité

    Je te lirais
    avec ma peau
    et tes mots seraient pour moi
    une pluie de pétales de roses
    ivre de parfum
    et de joie

    Je te lirais
    du bout de mes doigts
    et tes mots seraient pour moi
    le sable d'une plage
    qui frissonne sur mon corps

    Mais tu n'es pas un poème
    tu es un recueil tout entier
    il faut d'abord te feuilleter
    et t'ouvrir à la page
    de l'été
    Il faut chercher tes traces
    dans un pré en fleur
    au pied d'une montagne
    inconnue

    Tu es là
    à l'ombre d'un noyer
    enveloppé de silence
    Sans t'approcher
    je m'enfile doucement
    comme le vent
    qui caresse ton visage
    et pose sur tes lèvres
    les senteurs de la mer

    Telle un oiseau égaré
    je me perd dans le ciel
    presque imaginaire
    et je pense:
    si tu étais
    un poème...



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    Mieux vaut vivres avec des remords qu'avec des regrets


    Le livre de la vie est le livre suprême, on ne peut ni le fermer, ni le rouvrir à la page de son choix.
    Le passage attachant ne se lit pas deux fois, mais le feuillet fatal se tourne de lui-même.

    On voudrait retourner à la page où l'on aime, mais la page où l'on meurt est déjà sous nos doigts.
    Alors, la vie suit son cours et l'espoir renaît, mais la réalité fait apparaître les regrets.

    Petit à petit, la vérité se dévoile, apportant son lot de déceptions.
    On croit connaître l'autre, mais la vie nous prouve le contraire.

    Que faire ? Que choisir ? La torture s'installe et avec elle, le mal-être de la vie.
    On attend le changement qui ne se produit pas, l'image reste sombre

    Parfois, un mirage se produit, une lumière s'allume, éphémère, elle disparaît aussi vite qu'elle est arrivée, et avec elle l'espoir qu'on nourri.
    Alors, on voudrait retourner à la page où l'on aime, mais la page où l'on meurt reste sous nos doigts



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    Les charognes du poète


    En des contrées où je ne suis pas
    La mort cisaille les invisibles fils de la vie
    Moissonne les âmes rongées par les vers avant le trépas
    Et accueille en son royaume ces mortels zombies

    Les testaments pleuvent et les larmes n'existent pas
    Que la douleur soit juste dans la demeure qui vous flétri
    Que vos dépouilles soit généreuses envers moi
    Qu'elle me lègue encore quelques vers pour mes écrits

    Pour tous ces morts et toutes ces âmes errantes
    Voici quelques lyrismes macabres que j'invente

    Pour mes morts et ceux de l'humanité
    Ces sinistres inconnus qui nourrissent mon écriture
    Ces muses funèbres qui reposent dans la terre glacée
    Ces sources d'inspiration qui pourrissent dans la moisissure



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    Le maudit cancer


    Qui pourrait m' renseigner,
    Je cherche à lui parler.
    Comment fait-on pour dire
    A quelqu'un qu'est plus là
    Qu'on s' noit dans les souvenirs
    Et qu'on a souvent froid

    J'ai tellement d' choses à dire
    A ma petite maman
    J'espère qu'elle pourra lire
    Ce ptit bout d'papier blanc
    Que j'aurai du écrire
    Il y a d' ça bien longtemps

    Dites moi que c'est bien vrai
    Que quand on est là-haut
    On lit dans les pensées
    Même s'il n'y a plus les mots
    Qu'on notait à la craie
    Dans un coin du tableau

    Pardon ma ptite maman
    D' t'avoir laissée périr
    T'avais l' visage bien blanc
    J'aurai du réagir
    C'était pourri dedans
    Et moi j' faisais que sortir

    Il a fallu qu'un jour
    Je te r' trouve allongée
    Et qu t' aies l' sommeil si lourd
    Que j' puisse pas t' réveiller
    Pour que j' vienne à ton s'cours
    Et qu' j'appelle les pompiers

    Ils ont voulu t' garder
    Remarque je les comprends
    Ils sont v'nus m'informer
    Qu'pour guérir faut du temps
    Qu' tu rest'rais allongée
    Tout' morte sur un lit blanc

    Avec c' trou dans la gorge
    Tu pouvais plus parler
    Comme quelqu'un qu'on égorge
    Ta voix, ils l'ont fauchée
    La fin d'une vie qui s' forge
    D'vant une putain d' télé

    J'suis resté près de toi
    Sur ce lit d'hopital
    J' te r'gardais quelque fois
    T'enfoncer dans ton mal
    Mais j'ai rien fais pour toi
    Caché dans mon journal

    Et puis ya c' maudit jour
    L'infirmière est passée
    Elle v'nait pas m'dire bonjour
    Elle voulait m' préparer
    "Ce s'ra bientôt son tour
    J'espère qu' vous le savez"

    J' voulais qu'on m' la répare
    Qu'on m' redonne une maman
    J'imaginais qu'un soir
    Tout r'viendrais comme avant
    V'là qu' c'est l'heure d' ton départ
    Tu veux plus m' voir, va-t-en

    Alors j' me suis cassé
    J' tai laissé dans ta chambre
    D'vant cette putain d' télé
    Qu' tu n' pouvais plus r'garder
    Te laissant seule attendre
    Qu' la mort vienne de chercher

    Maint'nant tu vis sous terre
    Et moi j'ai plus d' maman
    J'suis allé t' voir hier
    T' porter des oeillets blancs
    Mais tu sais au cimetière
    J' n'y vais pas très souvent

    J'en veux à c'maudit cancer
    D'avoir repris ta vie
    J' te jure j' lui f'rai la guerre
    J' le chass'rai loin d'ici
    Très loin du corps d'une mère
    Et d' ses enfants chéris

    Si on m' disait qu'en haut
    J' pourrais être avec toi
    Je suis sur qu'aussitôt
    Je franchirai le pas
    Mais j' crois qu'il est trop tôt
    Rien qu' par respect pour toi

    J'vais continuer ma vie
    Encore un peu ici
    Je pense à toi souvent
    Tu m' manques énormément
    J'aurai du t' dire avant
    Combien j' t'aimais maman







    Mes poèmes 5

    13/01/2009 19:22

    Mes poèmes 5



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    H

    j'ai la cervelle qui se crash
    et le corps qui se relâche
    de noirs idées je remâche
    de la vie je me détache
    si de la foule je me cache
    ce n'est pas que je suis lâche
    mais je hais toutes tache
    qui souris sous leurs moustache

    il faut bien que tu le sache
    c'est pour ça que je m'arrache
    en fumant un joint de hasch
    m'injectant un super flash
    ne dis pas que je rabache
    car moi alors je me fâche
    il la, tes dents tu recrache
    après t'être pris un bon smatch

    dans ma tête il y a eu un clash
    j'ai perdu toute mes attache
    je me prends pour un apache
    c'est du peyotl que je mâche
    bien meilleur que les pistaches
    si t'en veux faut payer cash
    au dealer de st eustache
    sinon tu auras macache


    H y sois t'il




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    Je laisse


    Je laisse mes rêves m'abandonner
    sur le papier blanc déchirer
    que l'on essayais de recoller
    avant de tout laisser brûler

    Je laisse vieillir mes souvenirs
    dans les boites a bijoux user
    que l'on n'arrive pas a recoller
    que l'on fini par oublier

    Je laisse de mes yeux s'échapper
    les larmes des blessure passé
    les marques des nuit passer a prier
    et les cris de haine qu'on m'a voler

    Je laisse les coups frapper ma peau
    les erreurs noircir mon passé
    les blessures détruire mon enfance
    et les cicatrices mutile ma peau
     
    je laisse le diable voler mon âme
    je laisse a dieu le droit de me punir
    je laisse au hommes le droit de se moquer
    et au ange le droit de me laissez

     mais jamais je ne laisserais
    quelqu'un mutilé mon coeur
    piétiner mes sentiments
    comme certains piétine les mégot usage

    je ne suis pas a vendre
    je vous offre ma vie
    je vous offre ma mort
    mais je préserve mon c,,ur

    mes sentiments sont ma vie
    je vous laisse tout le reste
    mais ma liberté d'aimer
    reste mienne pour toujours

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    je rêve du ciel de mon Archange


    Je lève les yeux au ciel, pour chercher ta main dans les nuages,
    Elle se présente à moi pour me soutenir dans ce dur virage,
    Car même si je faits comme si tout étais vraiment facile,
    J'ai besoin de toi, pour soutenir mon être qui est trop fragile.

    Je regarde en arrière un instant, je repense à ce jour fantastique,
    Où tu m'as complètement envoûté avec ton charme angélique,
    J'ai dans mes pensés un délicat rêve de pouvoir entrer dans ta vie,
    Qui me laisse rêveur et qui me permet de franchir mes interdits.

    Tu es sources de tout mon amour, fruit de suaves désirs,
    Tu faits naître en moi passion, qui le soir me fait frémir,
    Mais je doits encore franchir de difficiles murs pour avancé,
    Avec tout mon amour je trouve cette force pour continuer.

    Je vais changer de vie, de lieux, d'habitude mais pas de c,,ur,
    Car je te l'ai donné pour apporter dans ta vie de la douceur...



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    L'amour c'est...


    L'amour est un merveilleux présent, qui fait rêver d'un bel avenir,
    Il est le don de s'offrir entièrement, malgré un passé qui fait souffrir,
    Il est le désir d'être avec un c,,ur, faisant vibrer d'une douce mélodie,
    Notre âme sur l'océan du bonheur, en donnant à notre vie des envies.

    Cet amour est d'accepté autrui, pour ce qu'il est et son vécu d'avant,
    Il est comme un délicieux fruit, avec un goût sucré, mais surprenant,
    Entrainant désir et suave passion, même s'il est le doux fruit interdit,
    Il procure de délicates sensations, en donnant à notre vie des envies.

    Cet amour nous fait avancer, donnant un but, d'étonnants objectifs,
    Nous désirons en elle briller, nous voulons entrer en son c,,ur à vif,
    Être un doux prince charmant, détruisant ses vils dragons de la nuit,
    Il nous permet d'être séduisant, en donnant à notre vie des envies.

    Cet amour est pareil au cristal, éclatant sous une lueur scintillante,
    Rayant mon doux c,,ur glacial, avec une simplicité déconcertante,
    Il donne beaucoup de courage, et même s'il entraîne la jalousie,
    Il franchit les murs avec rage, en donnant à notre vie des envies.

    Cet amour est un émoi unique, qui fait faire des choses étranges,
    Rendant une femme angélique, en la faisant nommer archange,
    Nous faisant rêver ainsi de ciel, avec de suaves et brûlantes nuits,
    Il est un monde de merveilles, en donnant à notre vie des envies.



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    Lettre d'adieu


    Adieu à vous qui peut être m'aviez aimés, adieu à ceux qui ont du me supporter. J'avais tant de choses à dire, j'aurais voulu m'exprimer, mais je ne peux que partir car personne ne m'a écouté. Mélancolie exacerbée ou fin d'une vie abandonnée ? Acceptation de la fatalité ou refus de la vérité ? Encore ces questions, elles ont décidé de me conduire dans l'abîme. Mais la solution, brève et définitive sera mon acte ultime. Quand un ange ou un démon m'aura emporté, vous n'allez pas me regretter. Peut être aurais-je la chance, dans une autre vie, de braver la déchéance, celle qui m'a détruit. Mais aujourd'hui je rêve d'une autre terre, car ce pays où mon âme s'enterre, me fait perdre la raison, efface tous mes horizons. Je rêve d'une contrée inconnue où je ne serais plus déçu, d'un peuple accueillant qui comblerait le néant. Je suis asphyxié, je dois m'échapper. Qui que tu sois être divin, montre moi le chemin de ce lieu magique, avant l'heure fatidique ; car je ne veux pas m'éteindre et tout effacer, mais je ne peux me restreindre à rester blessé. Demain je ne serais plus, on en parlera dans la rue ; mais on oubliera bien vite, cette lettre que j'ai écrite. Ceci n'est pas mon testament car je n'ai rien à donner, ne le lisez pas à mon enterrement car il ne faut pas pleurer. Mon tourment est ravivé, mon âme s'est emballée et dans cette décision brutale, chacun de mes actes me sera fatal. Alors acceptez mon départ, ne restez pas dans le noir, utilisez mon désespoir pour oublier mon histoire. J'aurais voulu vous voir une dernière fois, avant de rejoindre l'au-delà, mais à présent il est trop tard, tout rendez-vous serait dérisoire. Je veux simplement qu'on me comprenne, qu'on ne ressente pas de haine, qu'on pense un peu à moi, même si je ne revenais pas. Maintenant la mort, s'empare de mon corps, il est bientôt l'heure, d'épurer le malheur. Bien que cette nuit soit éternelle, je vous promets de rester fidèle car vous êtes tout ce qui a compté dans ma vie, vous avez été mes amis. Je vous dis adieu, soyez-en heureux.



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    Passion d'écrire...


    Il y a ces choses que l'on ne peut admettre sans ensuite se compromettre, il y a ces causes que l'on ne peut soutenir sans pour autant en souffrir. Il y a mille destins pour les enfants sans chagrin, mais un seul amour, celui qui durera toujours. Il faut croire en la chance, le bonheur et l'espérance et penser à ceux, qui si jeunes, sont déjà trop vieux.

     

    Mais que faut il faire, pour avancer sur cette Terre ? Contempler derrière soit les chemins arides ou regarder en avant l'avenir comme un vide ? Que cherches tu, toi qui me lis ? Pourquoi veux tu, connaître ma vie ? Est-ce une tare de pleurer seul le soir ? Suis je handicapé, des larmes qui ont trop coulées ? Pourquoi dites vous que j'écris bien ? Connaissez vous mon chemin ? Non, je n'ai rien à prouver, ni vraiment à déclarer. Je veux juste écrire, écrire et puis mourir... Quand je n'écrirais plus, je ne vivrais plus.

    Je veux simplement immortaliser les passions, les pensées et les communions. Et puisque dans sa bonté infinie le plus grand des décideurs, m'a donné une touche de génie pour purger mon malheur, quel mal à en profiter, à se dévoiler et tout partager ?

    Certains ne me comprennent pas, ne voient que le mal en moi, ou l'extrême impudisme de la frustration à son paroxysme. Mais laissez moi rêver, aimer, châtier et tout partager. Laissez moi mon unique chance, celle basée sur mon inconscience, laissez moi croire une fois seulement qu'il y a une vie au firmament. Je ne veux pas choquer, encore moins faire pleurer, je ne souhaite pas vous voir triste, juste vous dire que moi j'existe.

    Certains me trouvent étrange, d'autres me voient comme un ange, je suis simplement humain, passionnée par mon destin, un peu folle parfois, mais réaliste et ça se voit. Que signifie cet écrit, il ne parle plus de ma vie, n'analyse aucune passion, est écrit en toute raison. Il ne s'agit que d'une pause, une remise en cause, un sens que je veux donner, à tous ces textes que j'ai créés...



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    Toi


    te voir de loin,
    plus ou moins,
    s'être croisé ,
    et après...
    penser a toi,
    pourquoi pas,
    peut-être un jour,
    même pour toujours.
    Te voir de prés,
    pour après,
    te regarder ,
    même t'observer,
    puis a jamais t'oublier.



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    Mes poèmes 6

    13/01/2009 19:24

    Mes poèmes 6


    L'écriture


    Pourquoi amis poètes écrivons nous ?
    Moi c'est souvent pour me libérer du mal
    Qui me ronge et peut m'être assez fatal
    Ma plume est la heureusement je l'avoue

    Pouvoir mettre en mots une bribe de pensée
    Pour libérer mon esprit carrément tourmenté
    De tous ces maux qui me ronge et malmène
    Et de cette faucheuse qui est devenue reine

    Reine de ma vie dans ma tête
    Car tout le temps elle me répète
    Qu'avec elle la vie est plus que belle
    Que si je le veux elle m'attend près d'elle

    Ne vous détrompez pas mes amis
    Je ne veux en aucun cas couper ma vie
    Cet être infâme je la vire tout les jours
    Pour que ma tête repense aux bonjours !

    Mon combat est coriace et intérieur
    Et seul moi peux vaincre cette terreur
    Encore faut y croire avec tout son c,,ur
    Le mien est hélas brouillé par le malheur…

    c'est pour cela qu'écrire est éxutoire
    pour virer la haine et les idées noires
    cela me tien debout pour le moment
    et j'espère que ça durera longtemps!



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    Le maudit cancer


    Qui pourrait m' renseigner,
    Je cherche à lui parler.
    Comment fait-on pour dire
    A quelqu'un qu'est plus là
    Qu'on s' noit dans les souvenirs
    Et qu'on a souvent froid

    J'ai tellement d' choses à dire
    A ma petite maman
    J'espère qu'elle pourra lire
    Ce ptit bout d'papier blanc
    Que j'aurai du écrire
    Il y a d' ça bien longtemps

    Dites moi que c'est bien vrai
    Que quand on est là-haut
    On lit dans les pensées
    Même s'il n'y a plus les mots
    Qu'on notait à la craie
    Dans un coin du tableau

    Pardon ma ptite maman
    D' t'avoir laissée périr
    T'avais l' visage bien blanc
    J'aurai du réagir
    C'était pourri dedans
    Et moi j' faisais que sortir

    Il a fallu qu'un jour
    Je te r' trouve allongée
    Et qu t' aies l' sommeil si lourd
    Que j' puisse pas t' réveiller
    Pour que j' vienne à ton s'cours
    Et qu' j'appelle les pompiers

    Ils ont voulu t' garder
    Remarque je les comprends
    Ils sont v'nus m'informer
    Qu'pour guérir faut du temps
    Qu' tu rest'rais allongée
    Tout' morte sur un lit blanc

    Avec c' trou dans la gorge
    Tu pouvais plus parler
    Comme quelqu'un qu'on égorge
    Ta voix, ils l'ont fauchée
    La fin d'une vie qui s' forge
    D'vant une putain d' télé

    J'suis resté près de toi
    Sur ce lit d'hopital
    J' te r'gardais quelque fois
    T'enfoncer dans ton mal
    Mais j'ai rien fais pour toi
    Caché dans mon journal

    Et puis ya c' maudit jour
    L'infirmière est passée
    Elle v'nait pas m'dire bonjour
    Elle voulait m' préparer
    "Ce s'ra bientôt son tour
    J'espère qu' vous le savez"

    J' voulais qu'on m' la répare
    Qu'on m' redonne une maman
    J'imaginais qu'un soir
    Tout r'viendrais comme avant
    V'là qu' c'est l'heure d' ton départ
    Tu veux plus m' voir, va-t-en

    Alors j' me suis cassé
    J' tai laissé dans ta chambre
    D'vant cette putain d' télé
    Qu' tu n' pouvais plus r'garder
    Te laissant seule attendre
    Qu' la mort vienne de chercher

    Maint'nant tu vis sous terre
    Et moi j'ai plus d' maman
    J'suis allé t' voir hier
    T' porter des oeillets blancs
    Mais tu sais au cimetière
    J' n'y vais pas très souvent

    J'en veux à c'maudit cancer
    D'avoir repris ta vie
    J' te jure j' lui f'rai la guerre
    J' le chass'rai loin d'ici
    Très loin du corps d'une mère
    Et d' ses enfants chéris

    Si on m' disait qu'en haut
    J' pourrais être avec toi
    Je suis sur qu'aussitôt
    Je franchirai le pas
    Mais j' crois qu'il est trop tôt
    Rien qu' par respect pour toi

    J'vais continuer ma vie
    Encore un peu ici
    Je pense à toi souvent
    Tu m' manques énormément
    J'aurai du t' dire avant
    Combien j' t'aimais maman



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    Ma passion d'écrire,


    L'aurore, un moment d'amour
    Le soleil brille depuis toujours
    Alors que le monde change de direction
    Moi je n'ai qu'une seule passion
    Ecrire et écrire des mots du coeur
    S'inspirer des étoiles et leur magique lueur
    Faire du silence une mélodie
    Qui chantera en moi et sur les feuilles en harmonie
    Chaque lettre est une partie de ma vie
    Chaque moment pour moi est une poésie
    Mes mots seraient-ils une folie ?!
    Ou des idées qui s'envahirent ?!
    Je vois que ma plume n'arrête pas d'écrire
    Que mes mots aiment s'enorgueillir
    Qu'en parlant je suis libre
    Alors faut-il que j'arrête cette passion
    Ou laisser les lettres parler du temps



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    La vie,


    Quand on n'a qu'un mur pour tout horizon
    Quand on n'a qu'un abîme en guise d'espoir
    Quand on traîne avec soi sa propre prison
    Quand on n'a que ses illusions pour y croire

    Quand on n'a que ses échecs pour souvenirs
    Quand on n'a que ses peurs pour se rassurer
    Quand on n'a que son présent pour avenir
    Quand on n'a même pas de voix pour murmurer

    Quand on n'a pour toute révolte que ses larmes
    Quand on a pour juge la logique d'autrui
    Quand on n'a que son silence pour unique arme
    Quand on n'a que sa foi comme ultime appui

    Alors, c'est sur cette foi que l'on doit compter
    Et se dire que chacun a droit au bonheur
    Que cette vie capricieuse, on peut la dompter
    Et en faire un havre de paix et de coeur.



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    Insomnie


    Et le silence pèse en ces heures ténébreuses,
    Sous la valse enivrante de l'insomnie galeuse!
    Le marchand de sable ne passera pas à mon chevet!
    Les paupières dépérissent tout de noirs colorés!

    Orphée aphone ne me chante plus sa douce mélopée,
    Je glisse dans les draps de ces errances nocturnes!
    En apesanteur dans ce monde où se perd l'identité,
    Et tel le loup galeux, solitaire j'hurle à la lune!

    Paria de ces fumeux labyrinthes où l'âme voyage,
    Dans cette mer houleuse je hisse la voile noire!
    Ma barque échouée s'ensable sur ce sombre rivage,
    Et fouler la terre promise ne sera pas pour ce soir!

    L'âme s'égare sous le poids de mes défaites,
    Et dans l'étau de ces remords je me distords!
    Dans le tourbillon de l'amertume je le guette!
    Mais sous sa pierre tombale le sommeil gît, mort!

    Et ces heures qui défilent et lui qui se défile!
    Miséreux mon corps funambule parade sur ce fil!
    Et cette putain qui tapine veille dans le noir
    De ces bras nécrosés m'enserre dans son cafard!

    Et dans son regard blafard se meurt mon espoir!
    Et de ses lèvres glacées et fétides m'embrasse,
    Amoureuse de mon être, gardienne de ce désespoir!
    Et la douce nuit se consume mais rien ne l'efface!

    Miroir mon beau Miroir mais lui bien sûr il dort!
    Alice aussi, mon appel se perd, ô nuits ténébreuses!
    Mon corps souffreteux pleure, ô insomnie ravageuse!
    Seul recours la pharmacie, îles aux milles trésor!



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    Comme un exil


    Douleur enfantine
    Maladie infantile
    Comme un exil
    Comme un signe.

    Comme un ban
    Exclu, pauvre enfant
    Impossible de faire autrement
    Que de patienter sur un banc.

    Pourtant elle est là
    Bien que ce ne soit pas un choix
    Apprend à la connaître
    Puisqu'elle fait partie de ton être.

    Fais en une amie
    Surtout pas une ennemie
    La solitude est là, avec toi
    Elle te guidera,
    Et assagira tes choix.



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    Gare des incompris


    Perdus dans le brouillard, le coeur à l'anathème,
    Nous avancions blessés, d'un amour bafoué,
    Comme des tortillards, sur des voies de bohème,
    Nos pas étaient lassés et nos âmes fardées.

    Nous n'avons pas pu voir, embrumés de tristesse,
    Les quais qui défilaient, caressés par nos flancs,
    Nous ignorions la gare, où l'amour en détresse,
    Patient, nous attendait, au banc des sentiments.

    Mais une de tes larmes se perdit en chemin,
    Et sur un aiguillage, se fondit dans la mienne,
    Elles coururent à la rame, du wagon du destin,
    Et nous donnèrent l'image des causes de nos peines.

    Nos tourments esseulés, purent enfin se comprendre,
    Laissant parler nos c,,urs, qui des maux délivrés,
    Battirent en nos côtés, pour mieux nous faire entendre,
    Combien durant ces heures, ils s'étaient recherchés.

    Nous sommes à présent, aux chants du ménestrel,
    Dans ce compartiment, de l'hymne des amours,
    J'y serai ton amant, tu y seras ma belle,
    De nos vies s'envolant, au son des troubadours.



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    Humilité


    Il est des choses que l'on ressent, il est des choses qu'on ne dit pas.
    Des choses que mon humeur de femme, ne peut laisser se dévoiler.
    Il est des choses que l'on dément, dont on se cache à chaque pas,
    Car tout au fond de nous résonne, de l'arrogance, de la fierté
     
    Du fond de mon éducation, viennent des mots qui me sont loi,
    Et je me prive alors souvent, d'un sentiment qui réprouvé,
    Laisse mon c,,ur en démission, de son amour et de sa voie,
    Et je m'accable de tourments, prostituant ma vérité.

    Alors s'enivre la rancoeur, de cette faiblesse aveuglante,
    Qui pose en moi de la rancune, assaisonnant ma vanité,
    Et je me perds dans la douleur, j'en fais ma maîtresse démente,
    Je lui accorde la fortune, laissant mon âme se ruiner.

    Et je m'enterre dans le trou que pour une autre j'ai creusé,
    Ne voyant pas au fond de moi, le flux de ma cupidité.
    Mais c'est alors que tout à coup, vient une étoile de bonté,
    Qui cherche à réveiller en moi, la flamme de l'humilité.

    Et ma conscience de surcroît, s'éveille et vient se révolter,
    Me secouant comme il se doit, de m'être si loin égaré,
    De ce chemin tracé pour moi, loin de ces sentier encaissés,
    Et je recule, pas à pas, un peu honteuse mais soulagée.

    Alors voilà pourquoi papa, je viens te demander pardon,
    D'avoir si tôt serré le poing, alors que ta main se tendait,
    Et je te serre contre moi, car dans tes bras il fait si bon.
    Qu'importe l'avis des voisins… Mon sang au tien est bien lié !



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    J'aime


    Envoûtant mes sentiments
    Libérant mon inconscient
    J'aime
    Je ne suis plus moi-même

    Prisonnier de ce charme
    J'aime, c'est infernal
    Prisonnier de l'autre
    J'aime, c'est mon apôtre.

    Prisonnier de l'autre
    Je suis devenu un être dépendant
    J'appréhende ce qu'il ressent
    J'aime, c'est tellement envoûtant.

    Tombé sur moi, sans le vouloir
    Sans le chercher, il est pourtant ici
    J'aime, les nuits passé dans son lit
    Je suis de l'autre coté de mon miroir.



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    Tableau


    La porte est décrépie,
    D'un faux jaune sali.
    Cet oiseau fatigué
    qui voudrait s'envoler,
    C'est le manteau vieilli
    A force de rester
    Lui aussi accroché,
    Comme un truc oublié
    Prés du chapeau fringant
    Qui donne belle allure
    au vieil homme endormi.

    Il le mettra bientôt
    Sur son front dégarni
    Pour cacher le soleil qui
    le fera cligner malgré lui...
    Et puis il sortira
    Armé de son banjo
    Et comme un magicien
    Il créera son soleil
    A lui.



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    Dream of a new dawn


    Entre lumière et ténèbres
    Entre licorne et Cerbère
    Blanc et noir se mélange
    Le monde alors change.

    Un jour, fleur
    Rimera avec malheur
    Ou alors terreur
    Rimera avec bonheur ?

    Noir rimera t-il
    Avec espoir ?
    Joie et peine
    Seront-ils les même ?

    Dans un monde en perpétuel changement
    Sans qu'on ai le temps de s'en apercevoir
    Tout les avenirs son possible, blanc et noir
    Peuvent s'unir, sans qu'on ne le voie vraiment.



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    La vie qui palpite


    Ivre sans être mort
    Sentir l'autre corps
    Sentir la vie qui palpite
    Sentir l'autre vie qui s'excite.

    Abandonné à l'autre plaisir
    Qui n'est possible qu'au désir
    Qu'à l'amour qui existe
    Prolonger l'autre visite.

    Les yeux dans les yeux
    Les mains sur les autres cheveux
    Crispées de plaisir
    Se sentir vivre, devenir.



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    Rêverie


    Beauté inconsciente, écarlate vermeil,
    Trait d'azur étoilé, resplendissant soleil,
    Fleur inoubliable qui m'a touché au c,,ur,
    Parfum trop délicat, tu gardes mes malheurs.

    Tes voiles si légères, que j'aie à caresser,
    Ont bercé ma langueur, ta vie est trop abstraite.
    Tu as été ma muse, et toujours plus parfaite,
    Alors mon âme est morte de t'avoir rencontré.

    Délicieuses amours, qui enivrent mes rêves,
    De bleu, de blanc, de beau, c'est si la vie est brève
    Que l'on peut y cacher… le nom de l'être aimé.



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    L'étoile dans la gouttière


    Une étoile inconnue
    Vient de tomber du ciel
    Inaperçue

    Elle gît dans la gouttière
    Inanimée
    À deux pieds sous les miens

    Muni d'un bâton fourchu
    Je tente mais en vain
    De la sauver

    Sur le trottoir d'en face
    Des passants intrigués
    Observent mon manège
    Mais n'y comprennent rien

    À l'aube je le crains
    Elle aura disparu
    Et le soir à la même heure
    En ouvrant ma fenêtre
    J'entendrai peut-être
    Des chants funèbres venus d'en haut
    Et des complaintes d'étoiles s,,urs



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    Le collier des fées.


    L'aube m'a éveillée
    En léchant l'oreiller
    Quand tu m'as dis tout bas
    Ne te retourne pas
    Relève tes cheveux
    Gardes fermés tes yeux.

    Ma nuque dénudée
    A reçu ton baiser
    Un frisson doux et chaud
    A couru sur ma peau
    Dans le tiède des seins
    A glissé son satin

    Tu m'as prise en tes bras.
    Me libérant des draps
    Lover contre ton torse
    Blottie à ton écorce
    Portée jusqu'au miroir
    Tu m'as permis de voir.

    Ce cadeau de l'amour
    Offert au petit jour
    Pour moi volé aux fées
    Leurs colliers de rosée
    A la dernière brume
    Quant le soleil s'allume.











    Mes photos d'insectes

    13/01/2009 19:27

    Mes photos d'insectes


     






    The Connells ... 74" 75"

    07/02/2009 14:25








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